Au Liban, le mouvement de protestation se laisse un répit en attendant le nouveau gouvernement
02 - Novembre - 2019
Trois jours après la capitulation du premier ministre Saad Hariri face à la colère de la rue, le Liban hésite entre retour à la normale et poursuite de la contestation. Vendredi 1er novembre, les banques ont rouvert leurs portes, pour la première fois en deux semaines, et, les barrages routiers ayant été levés, la circulation a repris comme à l’accoutumée. Mais des rassemblements de protestation ont eu lieu dans les villes de Saïda et Tripoli et dans le centre de Beyrouth, et des protestataires ont brièvement occupé le siège de l’Association des banques, signe que la colère contre la classe dirigeante reste encore vive.
Autres actualités
19 - Mai - 2020
Le maire libéral de Varsovie, nouveau candidat de l’opposition à la présidentielle polonaise
L’improbable imbroglio politique et juridique autour de l’élection présidentielle polonaise, dont le parti au pouvoir voulait forcer la tenue au mois de mai en pleine...
18 - Mai - 2020
En Libye, Khalifa Haftar accumule les revers en Tripolitaine
Est-ce le revers de trop ? L’estocade à l’impact potentiellement déstabilisateur pour l’ensemble de sa stratégie militaire ? La perte lundi 18 mai par...
18 - Mai - 2020
La France et l’Allemagne proposent un plan de relance européen de 500 milliards d’euros
Après des semaines de discussions entre leurs équipes et de nombreuses visioconférences, Emmanuel Macron et Angela Merkel ont présenté, lors d’une...
16 - Mai - 2020
Coronavirus : risque accru de mutineries dans les prisons surpeuplées d’Amérique latine
Sans eau, sans savon, surpeuplées : d’ordinaire insalubres, les prisons latino-américaines connaissent, avec la pandémie due au coronavirus, un regain de tension,...
16 - Mai - 2020
Accusée d’abus, la police de Hongkong blanchie par un rapport
Très attendu, le rapport qu’a rendu vendredi 15 mai l’inspection de la police de Hongkong, le Conseil indépendant des plaintes contre la police (IPCC), dresse un bilan...