Les investisseurs se méfient des analystes dont le nom est à consonance étrangère

06 - Février - 2019

Selon une étude effectuée par l’école de commerce londonienne Cass Business School, (City University of London) et rendue publique mercredi 6 février, les prévisions des résultats des analystes financiers dont les noms de famille sont étrangers suscitent de plus fortes réactions de la part du marché.
Les chercheurs de cette école de commerce londonienne ont découvert que, à la suite des attaques terroristes du 11 septembre, les prévisions formulées par des analystes dont les noms de famille étaient à consonance moyen-orientale engendraient de plus faibles réactions du marché. Ils ont également constaté qu’après l’opposition des gouvernements français et allemand à la guerre en Irak menée par les États-Unis, les prévisions d’analystes aux noms français ou allemands étaient moins bien accueillies par le marché américain.

Autres actualités

16 - Avril - 2020

En Israël, Benny Gantz échoue à former un gouvernement d’union avec Nétanyahou

Israël marche-t-il en somnambule vers de quatrièmes élections législatives en à peine plus d’un an ? Cette perspective se fait plus concrète, alors...

16 - Avril - 2020

Coronavirus : en Islande, une campagne de tests massive sur la population

L’Islande n’a pas été épargnée par la pandémie de Covid-19. Ce pays insulaire de 364 000 habitants disposant d’une unique porte...

15 - Avril - 2020

En Afrique du Sud, « si les flics te trouvent à boire dehors, tu peux être sûr de prendre une raclée »

Courbée sous le poids des années, la silhouette de Mama Sipiwe arpente lentement les rues de Soweto. Semblable a tant d’autres en quête de victuailles en ces temps de...

15 - Avril - 2020

Devenu le visage de la lutte contre le coronavirus, le ministre de la santé brésilien au bord du limogeage

« Un médecin n’abandonne pas son patient », répétait à l’envi ces dernières semaines Luiz Henrique Mandetta. Pourtant, mercredi 15...

10 - Avril - 2020

Lars Tragardh : « La Suède lutte contre la pandémie due au coronavirus à travers la “liberté sous responsabilité” »

L’historien suédois Lars Tragardh a vécu une quarantaine d’années aux Etats-Unis, où il a enseigné à l’université Columbia,...